Se rendre compte qu'on a des images dans la tête et s'en souvenir au petit matin, ça fait peur quand on n'a pas l'habitude. A partir de 3 ans, les cauchemars sont assez fréquents mais l'école est rarement en cause. Ils ont plutôt pour origine les horribles histoires de loups ou de sorcières que les tout-petits adorent au demeurant. Et entre 3 et 6 ans, ils sont en plein complexe d'-dipe: ils doivent lutter pour réprimer leurs pulsions à l'égard du parent de sexe opposé. La première chose à faire est de les rassurer quand les cauchemars surviennent. Et laissez-les vous les raconter le lendemain, cela permet aussi de dédramatiser.