Autrefois, en cas de séparation d’un couple, les grands-parents étaient considérés par la loi comme des étrangers pour leurs petits enfants. Si un des parents voulais couper les ponts, il en avait parfaitement le droit. Cette situation provoquait souvent des drames. Depuis la loi du 8 janvier 1993, les pères et mères ne peuvent faire obstacle, sans motif graves, aux relations personnelles de l’enfant avec ses grands-parents.